D’un point de vue historique, le devoir de mémoire prime sur les problématiques de vie des individus. L’idée d’instaurer une date de péremption sur les données nominatives a piqué au vif des historiens, comme Denis Peschanski, pour qui l’anonymisation des données nous condamnerait à devenir « des sociétés sans mémoire ». Il ajoute que «…